Présentations de l’école
Présentation de l’ENSAPL lors des JPO 2024
Présentation de l’école lors de la Journée Portes Ouvertes du 27 janvier 2024 par :
– Pablo LHOAS, Directeur de l’ENSAPL
– Hélène MARCOZ, Présidente du C.A. et Enseignante en Art plastique
– Cédric MICHEL, Enseignant en Licence 1
– Jean-Michel MERCHEZ, Enseignant en Formation Paysage
– Bénédicte GROSJEAN, Enseignante en Master Urbanisme (CoMUA)
Présentations des années d’études de l’ENSAPL
Vidéos des différentes années d’études et des spécificités de l’ENSAPL.
– La licence 1
– La formation Paysage
– Les domaines d’études
– Le parcours CoMUA
– La mobilité internationale
Ateliers de mises en oeuvre et TD
L’École Nationale Supérieure d’Architecture et de Paysage de Lille dispose d’espaces dédiés à l’expérimentation et la fabrication. Que ça soit avec des machines-outils ou des machines numériques, les étudiants et chercheurs ont la possibilité de développer une approche des matériaux et des processus de fabrication que ce soit pour l’architecture, le paysage ou encore le design.
Retour en vidéo sur l’atelier Echelle 1, le Fablab, le TD design, exploratoire « impression additive » ou encore les impressions 3D
Cycles de conférences ENSAPL
Cycle de conférences « Résilience » – 2024/2025
La résilience urbaine, ou comment concevoir une ville régénérative.
Plus que faire face aux chocs à venir, y réagir de manière créative et fertile !
Les événements climatiques extrêmes qui font la une des médias tels que les inondations, les tremblements de terre et les cyclones, les changements climatiques, mais aussi l’épuisement des ressources et l’effondrement de la biodiversité sont en train de profondément transformer notre façon de vivre, de se projeter dans l’avenir, et entraînent d’importants bouleversements sur les territoires. En ville, les enjeux sont d’autant plus importants que nous sommes nombreux à y vivre, et que l’artificialisation des sols y est à son paroxysme. Les villes sont indéniablement mal adaptées, et parfois certains quartiers sont déjà devenus invivables. Sans oublier les coûts croissants et une disponibilité limitée d’énergie, entraînant des déplacements massifs de populations, et des modifications des modes de vie locaux. Le constat est alarmant. Mais nous ne souhaitons pas pour autant sombrer dans des scénarios catastrophes qui pourraient facilement devenir notre réalité. Car nous savons que des solutions existent et sont déjà à l’oeuvre ; que chaque situation de crise pousse à une créativité exponentielle ; qu’architectes, paysagistes, géographes, botanistes, sociologues, permaculteurs, hydrologues expérimentent des constructions qui vont plus loin que la simple adaptation. Nous préférerons parler de régénération : des projets systémiques qui font preuve d’une grande intelligence, mais aussi et surtout d’une grande logique et praticité! Des projets qui sont à l’écoute des sites et des ressources disponibles et renouvelables. Il est l’heure de régénérer les villes, et de repenser de manière globale la fabrication des territoires habités.
Cycle de conférences organisé par le collectif d’architectes et de paysagistes Les Saprophytes.
Cycle de conférences « Habiter » – 2023/2024
La question de l’habiter est en architecture et en paysage le lieu des interactions entre les évolutions sociologiques, urbanistiques, techniques et économiques de la société. C’est le lieu de l’usage et de l’appropriation. C’est l’architecture «mineure», le lieu de la stabilité domestique, et de la vie urbaine ou rurale.
C’est aussi aujourd’hui un champ de normes, de standardisation, et de répétition de modèles, initiés par la promotion et les bailleurs pour un habitant inconnu, standard.
C’est souvent un produit, la maille d’un tissu urbain collectif. C’est parfois un objet isolé ignorant la ville.
C’est enfin une cohorte d’expérimentations d’architectes, souvent généreuse, parfois célibataires, dont les rapports entre usage, structure, spatialité, lumière, évolutivité, prolongements extérieurs, rapport à l’autre, doivent être questionnés au-delà de toute considération esthétique.
Si nous devons être sensibilisés à cette histoire complexe, comprendre les modèles et tissus produits par cette longue histoire, nous devons aussi être projetés dans la nécessité impérieuse de comprendre la problématique environnementale, à la biodiversité et la raréfaction des ressources. Mais aussi savoir qu’on habite son logement, une unité de voisinage, un quartier et que chacun souhaite un rapport à l’idée de nature.
Cycle de conférences organisé par Antoine Béal et Mathieu Berteloot.
Cycle de conférences « Transformation » – 2022/2023
La question de l’habiter est en architecture et en paysage le lieu des interactions entre les évolutions sociologiques, urbanistiques, techniques et économiques de la société. C’est le lieu de l’usage et de l’appropriation. C’est l’architecture «mineure», le lieu de la stabilité domestique, et de la vie urbaine ou rurale.
C’est aussi aujourd’hui un champ de normes, de standardisation, et de répétition de modèles, initiés par la promotion et les bailleurs pour un habitant inconnu, standard.
C’est souvent un produit, la maille d’un tissu urbain collectif. C’est parfois un objet isolé ignorant la ville.
C’est enfin une cohorte d’expérimentations d’architectes, souvent généreuse, parfois célibataires, dont les rapports entre usage, structure, spatialité, lumière, évolutivité, prolongements extérieurs, rapport à l’autre, doivent être questionnés au-delà de toute considération esthétique.
Si nous devons être sensibilisés à cette histoire complexe, comprendre les modèles et tissus produits par cette longue histoire, nous devons aussi être projetés dans la nécessité impérieuse de comprendre la problématique environnementale, à la biodiversité et la raréfaction des ressources. Mais aussi savoir qu’on habite son logement, une unité de voisinage, un quartier et que chacun souhaite un rapport à l’idée de nature.
Cycle de conférences organisé par Antoine Béal et Mathieu Berteloot.
Cycle de conférences « Outil(s) » – 2021/2022
Les architectes ont toujours été tributaires d’outils particuliers pour la conception et la construction, qu’il s’agisse d’instruments pratiques tels que la règle droite, le T, le compas, ou les instruments conceptuels tels que le dessin à la main, le collage, la photographie, la maquette… Au fur et à mesure que les technologies ont progressé, la boîte à outils pratique et conceptuelle de l’architecte s’est élargie.
Depuis une vingtaine d’années, le numérique domine la conception architecturale et semble introduire de nouvelles manières de concevoir l’architecture. Néanmoins, un bon nombre de paysagistes ou d’architectes continuent à utiliser les mêmes outils que leurs homologues des XVIIIe et XIXe siècles.
Quel intérêt apporte le dessin à la main, la maquette ou la photographie dans la conception aujourd’hui, alors que l’informatique et le numérique remplacent aisément ces outils ?
Qu’apporte les démarches participatives ou de co-création dans la réalisation du projet architectural ou paysagé ?
Quel rôle apporte l’histoire dans le processus de conception du projet ?
Quid du chantier alors que cette mission échappe de plus en plus aux architectes et paysagistes ?
Ce cycle de conférence 2021-2022 explore volontairement ces outils que le numérique a beaucoup éclipsés, alors que ces instruments contribuent à la conception et la réalisation pour de nombreux paysagistes et architectes.
Cycle de conférences « Faire c’est dire » – 2020/2021
L’ENSAPL et Arc en rêve centre d’architecture prolongent l’exposition “Les usages du monde” avec un cycle de conférences inédit.
Dans le cadre de l’exposition “les usages du monde” présente au sein de la gare Saint Sauveur durant l’événement Design is capital, l’ENSAPL et Arc en rêve centre d’architecture vous proposent des conférences de Jan de Vylder et Inge Vinck, Nicolas Coeckelberghs, Philippe Louguet et François Azambourg, Bast, Christophe Hutin, Clément Berton, Zerm.
L’ENSAPL et Arc en rêve ont par ailleurs invité en conférences 3 agences d’architectes et de paysagistes qui ont été formées à l’ENSAPL : Face B, Studio Rijsel et La forme et l’usage. Ils ont pu présenter leur parcours à l’occasion de la 8e braderie de l’architecture.
Cycles de conférences metroforum
Cycle de conférences « Transformer » – 2023
Le capitalisme extractiviste s’est développé depuis près de deux siècles sous une forme prédatrice des différents espaces de la planète. En se déterritorialisant, suivant les opportunités de marchés du travail à bas coût et en vue d’optimiser les coûts de production et le recours aux matières premières, il s’est aussi rendu indifférent aux contextes locaux. Ce capitalisme globalisé s’exprime à travers une économie linéaire de croissance fondée sur un prélèvement de matières requises par un type de société (de consommation), basée sur l’exportation, la transformation, la consommation et le rebut. La destruction majeure et irréversible de milieux (forêt, terres agricoles, espaces naturels…), l’épuisement des ressources, est un des traits majeurs de cette économie (défi 2). S’y ajoutent les logiques d’échanges internationaux qui ont contribué à créer des formes de dépendances nocives ou asymétriques, entraînant des crises d’approvisionnement aliénantes.
Ces deux facteurs réinterrogent fortement la nature des métropoles, structures organisationnelles, sociales, économiques, politiques et culturelles toujours fondées sur les bases d’une économie linéaire : transformer leurs régimes alimentaires, leurs modes de consommation, leurs modes de production, les finalités de leurs vastes stocks de déchets, leur métabolisme. Est ainsi questionnée la capacité de ces métropoles à développer des filières ou modalités alternatives comme l’économie circulaire, réintroduire certaines matières dans des circulations locales de flux (matériaux de construction, productions agricoles…). Ce sont ici quelques-unes des dimensions de ces transformations requises dans le cadre d’un horizon politique dit de « transitions ». Pour autant celui-ci reste de façon dominante l’expression d’un capitalisme correctif privilégiant l’incrémental et le graduel comme horizon plutôt que les bifurcations ou les ruptures (exemple des objectifs à horizon x).
Dans le cadre des métropoles en quête de résilience, cette orientation corrective confronte le capitalisme à ses contradictions insurmontables : maintenir l’attractivité et la captation de valeur (dogme inconditionnel) tout en infléchissant fortement des modes de production et de consommation qui sont non seulement peu durables mais aussi à terme excessivement coûteux (assurantiel). Le point de non-retour de cette contradiction conduit désormais à un changement de paradigme : chercher désormais scientifiquement et politiquement à transformer plutôt que produire différemment.
Cycle de conférences « Métropole productive et résilience territoriale » – 2022
L’impact des exigences des modes de vie autant que des choix hérités d’aménagements passés conduisent à concentrer dans l’espace des métropoles de larges problématiques environnementales dans des effets de boucles de rétroaction. Une autre contradiction au cœur de cette transcription urbaine du capitalisme globalisé porte sur le fait de viser à optimiser (défini comme l’objectif de « donner les meilleures conditions de fonctionnement à quelque chose ») un système métropolitain saturé voire dysfonctionnel (circulations) tout en recherchant à préserver et à gérer de façon raisonnée les ressources pour certaines fragiles et/ou non-renouvelables (eau, air, sols, biodiversité).
Par exemple, les exigences de l’offre urbaine qui répond à l’injonction de l’immédiateté (logistique, distribution), de l’accessibilité doivent se conjuguer avec les aspirations au confort spatial (nature en ville, végétalisation). Cette contradiction se retrouve encore davantage questionnée par les impacts croissants des changements climatiques. Le défi de la décarbonation saisi dans son acception la moins restreinte (aux seules productions de bâtiments, de rationalisation des consommations – smart city – de la mobilité durable ou encore de la logistique urbaine) interroge aussi ce faisant les formes alternatives de métropolisation conçue encore aujourd’hui comme un compromis entre concentration et diffusion sur de larges espaces.
ENSAPL / WAAO
Cycle de tables rondes dans le cadre de l’exposition « Villes Vivantes » – 2022
Dans le cadre de l’exposition Villes vivantes : reconciliations entre ville et nature, l’ENSAPL, le WAAO et le Bazaar St So proposent un cycle de tables rondes.
Conférences Hors-cycle
2024/2025
Conférence de Michaël Ghyoot (ROTOR) – 10/10/2024
Conférence inaugurale 2024/2025
“Hors norme”
Conférence de Ônishi Maki et Hyakuda Yûki / O+H – 14/10/2024
« L’architecture comme un être vivant. »
Présentée par Benoît Jacquet, co-auteur du livre « L’Architecture comme un être vivant : o+h »
2023/2024
Conférence de BENTO Architecture – 04/12/2023
Conférence inaugurale 2023/2024
“In vivo”
Conférence de Florian De Pous, Jean-Baptiste Poinot et
Cyrille marlin – 18/01/2024
Présentation du projet de rénovation énergétique de l’ENSAPL
Conférence d’Alain Freytet – 21/03/2024
Servir la beauté des sites par la sobriété des aménagements
Conférence Modèles innovation – Richard Klein & Caroline Bauer – 02/07/2024
Les derniers modernes
Vie de l’école
Evénements à l’ENSAPL
Retrouvez en vidéos les évènements fort de l’ENSAPL.
– JPO 2024
– Semaine écologies 2024
– Proclamations Solenelle 2023
Projets de l’ENSAPL
Expositions, projets, TD, …
– The Ligthfall – exploratoire – 2021
– TD franchissement – De la structure à la rupture – 2020
– Exposition « Souvenirs déconfinés » 2021