Denis DELBAERE
Professeur, Chercheur au LACTH, Responsable du domaine Territoire, Représentant à la Commission Recherche
Denis DELBAERE
Professeur
Ville et Territoire
Diplôme(s) :
- Paysagiste DPLG, ENSP, Versailles, 1993
- DEA « Jardins, Paysages, Territoires », EHESS + ENSAPLV, 1998
- Doctorat « Sciences du Langage », EHESS, 2004
- HDR, Université de Lille, 2014
Activités :
- Chercheur au LACTH
- Praticien, agence L’interlieu, Lille, depuis 1994
- Rédacteur revue « banC publiC »
- Président du réseau inter-écoles « Critique et Projet de Paysage »
- Animateur de La Piste, groupe interdisciplnaire pour la Trame Verte Spontanée de l’eurométropole Likoto
Parcours :
Denis Delbaere est « chercheur de paysage » au sein du LaCTH (dont il dirige le domaine « Territoires en mutation et Situations métropolitaines »), professeur à l’ENSAPL, et maître d’oeuvre. Impliqué dans plusieurs programmes de recherche dont il assure parfois la direction (notamment projet « En marge »), membre des comités de rédaction des Carnets du Paysage et de banC publiC, il explore les voies d’un aménagement du territoire par le projet de paysage conçu comme territoire public, en relation avec les transitions environnementales et sociétales dans lesquelles les métropoles contemporaines sont engagées. Son action et ses recherches se concentrent depuis 2010 sur la formation des « trames vertes spontanées » le long des grandes infrastructures métropolitaines.
Principales réalisations :
- Parc du Bois Leurent, Roncq (59), 1998-2003
- Parc des Caudreleux, Neuville-en-Ferrain (59), 2000-2003
- Place de Saint-Hilaire (59), 2003-2007
- Promenade urbaine du quartier de l’abbaye, Marquette-lez-Lille (59), 2003-2007
- Restructuration du village de Bouillé-Saint-Paul (79), 2007-2014
Principales publications :
- « La fabrique de l’espace public : ville, paysage et démocratie » (Ellipses 2010)
- « Table rase et paysage : une exploration des paysages de la modernité pour un renouveau critique du planisme » (Petra 2016)
- « Altérations paysagères. Huit projets pour une théorie critique de l’espace public » (Parenthèses, à paraître, 2020)