Dans le cadre du cycle cycle Chroniques de l’architecture littorale (1929-1975) 

organisé dans le cadre de l’exposition Tous à la plage !

> le  23 novembre 2016
> lieu : Cité de l’architecture et du Patrimoine (Paris)

Présentation

La modification des relations entre les stations de villégiature balnéaire et le public, amorcée dès la crise des années 1930 est développée avec le front populaire qui favorise le développement du tourisme du plus grand nombre. A partir des premiers travaux de reconstruction nationale et jusqu’au milieu des années 1970, les nouveaux modes d’habiter le littoral, la transformation des équipements, la mise en place de nouveaux programmes architecturaux, l’importance de la voiture et du renouvellement des mobilités partent à la conquête de nouveaux territoires et bouleversent les relations aux rivages. Les formes de l’architecture sont celles d’une modernité inventive portée par la croissance économique et de la croyance en un futur symbolisé par la conquête spatiale. Le premier choc pétrolier, les critiques du modernisme littoral, l’engouement pour les architectures régressives et le naturalisme esthétique vont ensuite faite basculer les références des acteurs à l’œuvre sur le littoral.

Dans le catalogue d’exposition, voir l’article :
Richard Klein, « Le bord de mer pour tous. Nouveaux programmes et villes nouvelles (1930-1975) », in Bernard Toulier (dir.), avec la collaboration de Corinne Bélier et Franck Delorme, Tous à la plage ! Villes balnéaires du XVIIIe siècle à nos jours, Paris, Éditions Lienart / Cité de l’architecture et du patrimoine, 300 p.; p. 74-99.

 

En savoir plus sur :

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L’article >

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